Avec la pandémie de Coronavirus qui s’est répandue à partir de 2020, ce n’est pas seulement le prix des billets d’avion qui a augmenté en flèche. En effet, de nouvelles exigences sont apparues dans certains pays afin de pouvoir y entrer. Et nous ne parlons pas ici des tests PCR obligatoires avant le départ et à l’arrivée ! Ici, nous allons parler du cas de la Corée du Sud avec la création de la K-ETA qui peut prêter à confusion.

Comment obtient-on la K-ETA et à qui s’adresse-t-elle ?

La K-ETA (Korea Electronic Travel Authorization) consiste en une autorisation de voyage électronique qui s’obtient exclusivement en ligne. Il ne s’agit donc pas d’un visa à part entière comme certains l’affirment et il faut donc la séparer des visas de longue durée comme le visa de travail. Cette K-ETA est par ailleurs obligatoire pour les personnes qui souhaitent effectuer un court séjour (jusqu’à 90 jours) que ce soit pour le tourisme, la visite à un proche ou encore pour un meeting professionnel.

Pour l’obtenir, il faut tout d’abord faire partie des nationalités éligibles (la France en fait partie) et répondre à différentes questions en ligne qui concernent notamment la raison de votre voyage en Corée du Sud, sa durée, votre profession ou encore l’adresse du lieu dans lequel vous allez loger sur place. Une copie de votre passeport vous sera par ailleurs demandée. Les délais d’obtention sont assez rapides (moins de 72h00), mais si c’est urgent, vous pouvez utiliser les services d’un intermédiaire reconnu comme Action Visas qui pourra vous délivrer votre K-ETA sous 24 heures.